Dans cette dernière partie d’interview Caroline Naômé nous parle de l’avenir du pourvoir devant la CJUE: le tribunal pourrait-il redevenir compétent en matière de pourvois ? Quelles solutions pour éviter que la CJUE ne soit noyée par les pourvois?
Caroline Naômé travaille à la Cour de justice de l’Union européenne. Elle a commencé sa carrière professionnelle en 1980, en qualité d’avocat à Liège (Belgique). Elle est entrée comme fonctionnaire de la Cour en 1987, à la division de recherche et documentation. En 1994, elle a occupé le poste de référendaire dans le cabinet de M. l’avocat général Walter van Gerven. Ensuite, elle a travaillé pour le juge Leif Sevón (1995 à 2001) et, depuis 2002, elle travaille pour M. le juge Allan Rosas. Elle est licenciée en droit (Université de Liège, 1980), a une licence spéciale en droit économique (Université de Liège, 1983) et un MBA (Open University, 2000). Elle publie régulièrement en matière de droit européen de la procédure.
Elle est l’auteur du premier manuel sur le pourvoi édité chez Larcier en septembre 2016. Un ouvrage incontournable sur la question.
Re (voir):
- la première partie de cette interview sur l’évolution et la création du pourvoi devant la CJUE
- la seconde partie de cette interview sur les principales caractéristiques du pourvoi devant la CJUE
- la troisième partie de cette interview sur la pratique du pourvoi devant la CJUE
- la quatrième partie de cette interview sur l’évolution de la jurisprudence sur le pourvoi devant la CJUE