Pascale Idoux (Université de Montpellier/Institut Universitaire de France), Jean-Bernard Auby (Sciences Po/Chaire MADP) et Paul Lignières (Avocat au barreau de Paris), sont heureux de vous inviter à la
Table-ronde : le dialogue actuel et futur du Gouvernement économique européen et des entreprises européennes
Organisée à l’occasion de la parution de l’ouvrage Gouvernement économique européen (Bruylant-Larcier, 2017) par la Chaire « Mutations de l’Action Publique et du Droit Public de Sciences Po » et Linklaters
Avec le soutien de la Fondation Robert Schuman Avec la participation de : Enrico Letta, Doyen de l’Ecole des affaires internationales de Sciences Po Paris (PSIA), ancien Président du Conseil des ministres italien, et Jean-Dominique Giuliani, Président de la Fondation Robert Schuman
Date : 24 janvier 2018
Horaires : de 17h30 à 19h30
Adresse :
25 rue de Marignan – 75008 Paris
RSVP :
Inscription obligatoire avant le 17 janvier 2018 auprès d’Emilie Chevalier emilie.chevalier@unilim.fr
Thème : La crise économique et financière a révélé les insuffisances de l’Union européenne en matière de contrôle de l’économie. Elle a aussi permis un renouvellement de la réflexion et des pratiques sur les instruments à disposition de l’Union européenne et des Etats membres. Impliquant un nouvel équilibre des compétences entre les Etats membres et le niveau européen, ces évolutions ont posé les jalons d’un gouvernement économique européen. Ce contexte renouvelé peut-il alors permettre une meilleure prise en compte des entreprises européennes ? Le Gouvernement économique européen peut poser les bases d’une meilleure prise en compte des intérêts stratégiques et propres à l’Europe. Toutefois, dans un cadre complexe, marqué par les interactions entre le niveau national, européen et même international, la portée du volontarisme économique doit encore être appréciée.
La crise économique et financière a révélé les insuffisances de l’Union européenne en matière de contrôle de l’économie. Elle a aussi permis un renouvellement de la réflexion et des pratiques sur les instruments à disposition de l’Union européenne et des Etats membres. Impliquant un nouvel équilibre des compétences entre les Etats membres et le niveau européen, ces évolutions ont posé les jalons d’un gouvernement économique européen. Ce contexte renouvelé peut-il alors permettre une meilleure prise en compte des entreprises européennes ? Le Gouvernement économique européen peut poser les bases d’une meilleure prise en compte des intérêts stratégiques et propres à l’Europe. Toutefois, dans un cadre complexe, marqué par les interactions entre le niveau national, européen et même international, la portée du volontarisme économique doit encore être appréciée.